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, le il y a 12 années et 3 mois. Ce sujet a été consulté 573 fois
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A la recherche actuellement d’un radeau de survie, j’aimerai avoir votre avis sur le modèle choisi (caisson ou sac, hauturier ou côtier) et l’endroit où les propriétaires d’EDEL 4 ont placé le leur… merci à tous!
LO Vinc tu veux faire quoi comme nav? le prix augmente en fonction du modele et de sont équipement.
Slt Arnaud !
Si je reste à 6 MN d’un abri, j’ai peu de marge de manoeuvre autour de Calais et par contre l’Angleterre n’est pas loin mais nécessite un hauturier. Et qui sait, dans 10 ans je serai peut-être capitaine d’un 12 m en congés sabbatique !! Donc ce doit être hauturier. Mais j’hésite entre caisson ou sac maintenant. Dans le coffre Babord ?? Ou à l’intérieur sous le cockpit..? Ou aussi sur le balcon arrière…Qu’en pensez-vous ?
si si on est la…. Pour une utilisation ponctuelle tu peu trouver des radeaux en location, le reste du matériel obligatoire restant à ta charge. Il y a de grande difference de prix entre les fabricants. Pour son conditionnement c’est souvent en fonction de la place car ca prend pas mal de place sur le pont, mais il doit rester accessible rapidement s’il est dans un coffre.
D’AUTRE INFO D’UTILISATEUR REGULIER???Comme je le disais dans un rayon de 6 milles je n’ai aucun autre port que Calais, donc la loc cà va pas être simple si je dois la préparer à chaque sortie… ensuite sur le pont, je vois pas où le placer vu l’encombrement… je ne vois que le coffre Babord ou un support sur le balcon arrière… vos remarques sont donc les bienvenues…
Pour une utilisation (généralement en cas d’urgence) le point le plus approprié serait effectivement sur balcon arrière. Maintenant tout dépend s’il s’agit d’un sac ou pas !
C’est en effet le meilleur emplacement en cas d’urgence… et dans une configuration container… visiblement personne n’as fait cette installation parmi nous?
Bien que je n’ai pas envie de parler de ce bazard, je rectifie sur l’idée qu’à plus de six miles on doit prendre un hauturier; On peut prendre également un côtier. Le choix reste à l’appréciation du capitaine. J’ai un six places côtier, il est dans le fond du coffre babord, il pèse une tonne et j’ai déjà du mal à le sortir au port dans le calme plat..C’est vite périmé et trois ans c’est vite passé. Si tu trouves en occase dans une boite qui fait les révisions dans ton coin, tu n’auras pas les pb de transport par la suite….
Cordialement PhBonjour Zwicker,
merci pour l’info et çà rejoint ce que j’ai pu lire…
– de 6 miles pas d’obligation de survie mais recommandé (peu de gens)
+ de 6 miles d’un abri et – de 24 h des secours une survie côtière suffit ; exemple de nav traversée Corse, traversée Manche enfin comme on le remarque la plus part des nav en Méditerranée.
+ de 6 miles et – de 24 h survie hauturière si on veut une survie plus « confortable »
+ de 6 miles et + de 24 h survie hauturière plus le sac qui va bien.pourtant sur http://www.developpement-durable.gouv.fr/Le-materiel-de-securite-et-les.html, l’article 240 stipule que :
Deuxième section – matériel d’armement et de sécurité
Article 240-3.06
Dispositions générales sur le matériel d’armement et de sécurité
I.Les navires neufs et existants se conforment aux dispositions du présent chapitre, en
fonction de leurs conditions d’exploitation.
[u]II.Les navires effectuant une navigation au-delà de 6 milles d’un abri embarquent le
matériel d’armement et de sécurité hauturier prévu à l’article 240-3.09.[/u]
III.Les navires effectuant une navigation entre 2 et 6 milles d’un abri embarquent le
matériel d’armement et de sécurité côtier prévu à l’article 240-3.08.Dans l’article 240, il est en effet indiqué la responsabilité du chef de bord mais pas au niveau du radeau…
Ces dispositions réaffirment la responsabilité du chef de bord, le choix lui étant laissé d’adopter certaines configurations d’équipement en fonction de la navigation réalisée, [u]notamment pour ce qui concerne les moyens de sauvetage individuels.[/u] Ainsi, le port d’une combinaison de protection adaptée dispense-t-il de brassières de sauvetage, ou encore le port de brassières de sauvetage allié à un moyen de repérage lumineux, comme une lampe de poche étanche, permet d’être dispensé de bouée de sauvetage avec feu à retournement. Cette dernière peut elle-même être remplacée par d’autres moyens équivalents, tels que perches IOR, planches dynamiques, dispositifs gonflables ou intégrables aux navires, etc. De même, en navigation hauturière une installation VHF adéquate permet de s’affranchir des fusées à parachute et des fumigènes, équipements par ailleurs délicats à stocker, utiliser, et recycler en fin de vie.
Voilà de quoi alimenter cette discussion… :laugh:
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